Les idées physiologiques occidentales sur les avantages de l’utilisation du microcourant (μa) sont apparues en 1978 après l’étude scientifique sur la conduction du courant biologique dans les cellules. C’est Peter D. Mitchell qui se voit octroyer le Prix Nobel pour son travail dans la matière. En 1982, le scientifique Chen démontre qu’avec une stimulation de moins de 500 microampère, l’ATP augmente de 500 à 800%, la biosynthèse des protéines de 70% et le transport à travers la membrane est amélioré de 40%. En 1991, les gagnants du Prix Nobel, Erwin Neher et Bert Sackman expliquent comment le microcourant affecte le comportement de la membrane cellulaire. Paul D. Boyer et John E. Walker mettent au jour le mécanisme de la production d’ATP en 1997.


